Lundi 14 février
J’aime bien regarder les Blow-up de temps en temps, deux ou trois d’affilée. Mais celui-ci me plaît encore plus que les autres : outre l’affection toute singulière que je porte à celle que j’entendais récemment évoquer Flashdance – film que je n’ai jamais vu -, il se trouve que cet épisode, comme les autres plein d’humour, se termine par un morceau de Daft punk que j’adore, me faisant découvrir dans la foulée et par surprise qui, donc, est le fameux Giorgio. Invasion d’impressions joyeuses venues de tous côtés. Amusement de voir à quel point une chose disons moyenne ou simplement inconnue est prompte à se charger de valeur, par simple ajout d’affects. Par contagion d’éléments positifs. Comme on est tout disposé à aimer l’ami de l’ami. Sentiment enfantin face à ces heureux hasards. Me fera la journée.